Historique de ALTER-EUROPA
Avant la création de la maison d’édition, les fondateurs étaient
des consultants-associés au sein d’une société de CONSULTING en Belgique (avec des missions en France), axée sur la REPRISE-TRANSMISSION, la RECHERCHE STRATÉGIQUE DÉCENTRALISEE (méthodes
de « brain storming » dans le cadre de la PLANIFICATION FINANCIÈRE), l'ANALYSE DE LA VALEUR et la GESTION OPÉRATIONNELLE (outils, méthodes, procédures de gestion, pour un suivi des KPI et
des flux produits et services par les opérationnels eux-mêmes, sur le terrain).
Dans le cadre de ces missions, les associés se sont rendu
compte des dysfonctionnements dans le système bancaire, bien plus préoccupé à
de nouveaux « jeux de casino » qu’à exercer ses missions
traditionnelles de crédits et de prêts à l'Economie Réelle, au point de bloquer complètement le marché des reprises-transmissions des PME-PMI (entreprises non cotées) dès l’entrée en vigueur de l’euro en 1999.
Effectivement,
les règles du jeu avaient été volontairement trafiquées, et les banquiers - assureurs ont
gagné plus de deux mille milliards d'euros entre 1999 et 2002. Le menu fretin ne les
intéressait plus.
Avant la cession de leurs actions en 2007, les fondateurs de la MAISON EDITION ALTER-EUROPA ont alerté les
autorités publiques et européennes sur les dangers d’une CRISE MONÉTAIRE ET
FINANCIÈRE MAJEURE EN GESTATION grâce à des rapports, puis grâce à l’édition des livres I et
II en début 2008.
Et nous avions raison !
La crise était tellement profonde que les grands acteurs (une
cinquantaine de groupes financiers) n’ont pu cacher leur IMPASSE DE TRÉSORERIE
en fin 2008-2009 mais, au lieu de « scier les mauvaises branches pourries
» (hommes, pratiques, liens douteux avec les paradis fiscaux et même avec les
mafias), les GOUVERNEMENTS ont choisi de renflouer tout le système bancaire sans rien
changer. Seuls, les Anglais ont été courageux (nationalisations de certaines banques) mais pas totalement téméraires (les mêmes banquiers sont toujours aux commandes).
Le coût officiel pour les GOUVERNEMENTS a été de plus de 1.500 MILLIARDS EUROS EN ZONE EURO (fonds perdus) mais l’ardoise a été (volontairement) minimisée : elle était en fait supérieure à 2.000 milliards d'euros à fin 2011.
Or, cette crise était bien prévisible, et elle ne fait que commencer.
Les Bilans Agrégés des banques commerciales en Zone Euro (désignées par le néologisme "IFM") ont explosé à plus de 30.000 milliards d'euros, et seulement 40% de ces bilans sont "connectés" à l'Economie Réelle.
Autrement dit, même l'EPARGNE des particuliers et des entreprises est devenue "inutile" dans ce système de RESSOURCES FICTIVES. A fortiori, les ACTIFS BANCAIRES (EMPLOIS) sont (dans les mêmes proportions) orientés vers les crédits et les prêts de copinage : entre les banques elles-mêmes, pour alimenter les opérations de concentration économique des transnationales, et pour endetter de plus en plus les Etats avant de les obliger à "vendre les bijoux de famille"..
La suite ne s'est pas fait attendre : salaires en berne, pouvoir d'achat en berne, montée du chômage, désertification de Régions économiques autrefois prospères, montée des violences... et succès des partis d'Extrême-Droite.
L'ÉPÉE DE DAMOCLÈS AU-DESSUS DE NOS
TÊTES - POUR L’HORIZON 2015-2020 - EST CHIFFRÉE (PAR NOUS) A PLUS DE CINQ MILLE
MILLIARDS EUROS (y compris les cadeaux passés).
TOUJOURS POUR LA SEULE ZONE EURO...
Et pourtant, même en 2016, il restait toute une panoplie de
mesures conservatoires - à prendre - pour sortir de ce piège incroyable dans lequel
la BCE et tout le SEBC se sont fourvoyés avec leurs politiques « non-conventionnelles » : des pratiques de FAUX MONNAYAGE.
Pour mémoire, les banquiers fraudeurs étaient émasculés et
pendus un peu partout en Europe pour avoir osé trafiquer leurs comptes et les monnaies qu’ils émettaient : leurs Certificats de Dépôt, ancêtres des Billets de Banque.